JUILLET 2011. Le président se bunkérise à l'Elysée. Sa paranoïa atteint des sommets. Le 14 juillet, il est absent des cérémonies. Les rumeurs les plus folles courent. Carla l’a-t-elle quitté? A-t-il perdu la raison? A-t-il été kidnappé par les sicaires de Khadafi? Est-il toujours vivant? En désespoir de cause, Claude Guéant imagine un stratagème pour sauver le président. Mais un coup de théâtre va anéantir ses derniers espoirs… UNE POLITIQUE-FICTION RATTRAPÉE PAR LA RÉALITÉ !
24 juillet 2009
70 ans avant d’être le sobriquet de Sarkozy : JE SUIS PARTOUT, un journal collaborationniste
Trou du cul du web : Google pas gentil avec Sarkozy
16 juillet 2009
JE SUIS PARTOUT (les derniers jours de Nicolas Sarkozy) : le CASTING
Nez rouges : pourquoi JE SUIS PARTOUT n’aime pas les clowns
14 juillet 2009
14 juillet 2009 : un commando terroriste s’en prend à l’intégrité psychique de JE SUIS PARTOUT
13 juillet 2009
Corde sensible : pourquoi JE SUIS PARTOUT pleure en écoutant "Si seulement je pouvais lui manquer"
Rapetou : Madame Carla "JE SUIS PARTOUT" Bruni pique dans la caisse de la République
10 juillet 2009
Plus loin, plus haut, plus fort, plus longtemps : JE SUIS PARTOUT reçoit son jouet
09 juillet 2009
Prémonition villepiniste : 197 ans avant l'avènement de JE SUIS PARTOUT, le nom de Nicolas était une insulte
Invité ce matin de France Inter, Dominique de Villepin tirait sur Nicolas Sarkozy à la mitrailleuse lourde, avec une délectation et une onctuosité qui rappelait les grands moments de Galouzeau à l’ONU (à côté de ça, les anathèmes guerriers de Bayrou ressemblent à un pet de poisson pané dans la pôele), allant jusqu’à traiter notre pauvre président de déviant.
C’est l’occasion de rappeler que dans son (remarquable) "Les Cent-Jours ou l'esprit de sacrifice", l’âme damnée de Je suis partout [cela se vérifiera encore en 2011, et de quelle cruelle façon!] raconte l'anecdote (prémonitoire?) suivante. Lors du périple humiliant qui l'emmène à l'île d'Elbe, l'empereur déchu Napoléon se fait copieusement huer en Provence, "vieille terre royaliste où l'amour des Bourbons s'est nourri des guerres de Religion et du sang versé durant la Révolution." La foule crie "Vive le roi! A bas Nicolas! A bas le tyran, le coquin, le mauvais gueux!" DdV précise que Nicolas était le prénom favori que la légende noire attribuait à l'Empereur. "Ce nom de Nicolas était dans le Midi un des pseudonymes insultants de Napoléon, ailleurs c'était aussi un des pseudonymes de Satan l'empereur de l'enfer."