25 septembre 2009

New York, ville maudite : Nicolas Sarkozy rattrapé par le syndrome du tabouret. Retrouvailles douloureuses avec Cécilia

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (31)
21 septembre 2009. Alors que son ennemi intime Dominique de Villepin est cloué au prétoire du procès Clearstream, Nicolas Sarkozy s'envole pour les USA, le cœur léger. Destination ONU, le G20, les retrouvailles avec le petit Louis. Le voyage du président Je suis partout va pourtant se transformer en cauchemar.
ACTE 1. Le discours à l'ONU. Obnubilé par sa petite taille, le président est obligé de se jucher sur un tabouret (en fait, une étagère renversée) pour ne pas paraître un nain à côté de son concurrent déloyal Barack Obama, comme ne se sont pas privés de l'annoncer les ignobles médias anglo-saxons. Sur la lancée, il se fait insulter par le président iranien Mahmoud Ahmedinejab.
ACTE 2. L’interview au JT de France 2/TF1, en direct de l’ONU, au cours de laquelle il évoque les "coupables de l'affaire Clearstream" (lapsus, acte délibéré, peu importe, le mal est fait) et affirme que "le carbone crée un trou dans la couche d'ozone", alors que le dioxyde de carbone, gaz à effet de serre responsable du réchauffement de la planète, n'a rien à voir avec la couche d'ozone.
ACTE 3. Après avoir morigéné son ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner (qui n'a plus toute sa tête depuis l'épisode schizophrénique des Ouigours/Yoghourts, il faut bien le dire), le président s'en prend violemment à Arlette Chabot, qu'il accuse de ne pas assez faire d'émissions politiques et ne pas assez donner la parole à ses affidés UMP sur France 2.
ACTE 4. Le président, accompagné de son épouse, retrouve son ex Cécilia au domicile des Attias et repart avec son fils Louis sous le bras. La rencontre, certes courtoise, provoquera dans l'esprit du président un traumatisme sévèrequi va laisser des traces. Tout cela sera abondamment développés dans le roman (un peu de patience).
..A l'heure où ces lignes sont écrites, le périple US du président Je suis partout, en route pour Pittsburgh, n'est pas terminé, de nouveaux écarts ne sont pas à exclure, tant la confusion mentale et l'état d'exarcerbation du président semblent à leur comble, mais il est d'ores et déjà possible d'affirmer que ce voyage aura été un fâcheux prélude aux funestes et fâcheux événéments qui se dérouleront, dans cette même ville de New York, le 19 juillet 2011, date à laquelle Dominique de Villepin recevra des mains du fourbe Obama le prix Hope de la fondation Clinton, quelques jours avant de déclarer officiellement sa candidature aux présidentielles de 2012.

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