02 mai 2013

Claude Guéant, le petit mafieux sarkozyste qui aurait dû rester préfet


Dans "Je suis partout", Claude Guéant  essaie de sauver la peau de son maître (dont il disait jadis qu’il était "encore en construction") atteint de démence. Deux ans plus tard, il se pourrait bien qu'il sombre à son tour dans les vertiges de la déconstruction s’il ne soigne pas ses nerfs (une cure de soleil à Saint-Barth avec Cahuzac, par exemple).
Soupçonné d'avoir recueilli sur son compte bancaire 500.000 € qui proviendraient [ce sont les journaux qui le disent, pas moi] du financement occulte de la campagne présidentielle de son maître par Khadafi, celui qui aurait mieux fait de se contenter de la carrière de préfet convenant mieux à ses capacités se défend d'avoir vendu deux tableaux (ne valant pas plus de 15.000 € pièce!), puis d'avoir reçu… des primes ministérielles en cash.
Au comble de l’énervement – c'est à cela qu'on reconnaît un vrai sarkozyste : tel un Guaino apoplectique, il ne parvient pas à mâcher ses mots et finit par s'escagasser –, le voilà maintenant qui balance Sarkozy, qui s’énerve à son tour, quelques semaines après que le juge Gentil l'eût mis en examen pour détroussement de vieille dame pleine aux as… Tandis que la sarkozyste amoureuse Roselyne Bachelot (recyclée dans le Muppet show rose bonbon) déclare: "Soit c'est un voleur, soit c'est un menteur!" 
Envoyez les couteaux, messieurs, la fille du borgne fasciste ramassera les morceaux!!!

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